Croisière 5 – Jour 4 – Saint-Martin (ou Sint-Maarten pour les néerlandophones)

Saint-Martin, c’était une des escales que j’attendais le plus (avec toutes les autres).

Bon, on va commencer par l’habituelle indispensable photo lever de soleil, dans le port de Philipsburg (du côté Néerlandais, là où l’île s’appelle Sint-Maarten, parce que l’autre moitié de l’île est aussi Française)

Je l’attendais pour une bonne raison… dans la liste des excursions, j’avais repéré une sortie vers un parc qui permettait d’avoir un des plus beaux panoramas sur l’île et surtout, d’en redescendre par (ce qui est annoncé comme) la plus grande tyrolienne du monde…

J’avais un peu investigué avant de partir, et le package excursion proposé par Costa revenait quasiment au même prix que de me débrouiller tout seul.
(Ah, comment ça, j’ai pas mentionné que mes deux premières virées au casino nous ont permis de rembourser les excursions? Un oubli, sans doute!)

Donc, on arrive tranquillement dans ce fameux port, avec une belle vue dégagée, depuis notre cabine…

… et en revenant du petit-déjeuner (où, quelle surprise, on a retrouvé Damien et Cécile), la vue était obstruée par (mon cœur en vibre encore)…

Le Britannia!

On avait vaguement prévu, avec les jeunes, qui partaient de leur côté, de tenter de se retrouver à table si on pouvait le midi pour tenter une sortie ensemble pour ensuite.
(C’est tombé à l’eau, ils ont vadrouillé toute la journée)

Nous voila vaguement partis vers le parc avec d’autres excursionnistes (il y avait deux options: montée et redescente en télésiège pour les vieux ou montée en télésiège et redescente en 45 secondes pour les autres).

Comité d’accueil sympathique

Et montée vers les sommets, une petite demie-heure bien agréable sauf… … sauf quand le télésiège s’arrête avant l’arrivée et qu’il se met à flotter d’un seul coup une grosse averse tropicale!

Pas grave… moins de cinq minutes après en être descendus, on était déjà tout secs à nouveau!

Superbe panorama vu d’en haut…

Sauf que leur organisation, elle est toute pourrite… A peine sorti du télésiège, ils te donnent un numéro pour la descente accrochée, et que le numéro, ils te l’appellent à peine 5 minutes après être arrivés, donc pas trop de temps de profiter de la vue…

Pas grave, on s’aligne et on attend une bonne vingtaine de minutes que les deux tours (on descend 4 par 4) précédents s’envoient en l’air.

Et c’est notre tour!

Gros frisson lorsque les barrière s’ouvrent.
(L’arrivée est au niveau du stade, en bas)

… et pendant les premières secondes de descente…

… et après, c’est pépère!

… et arrivé en bas, il reste deux heures avant que la navette Costa vienne te rechercher.
Une fois que t’as fait le tour des iguanes, de la pièce prétexte-culturel, bien intéressante quand même sur celui qui a mis en place cette plantation et participé à l’émancipation des esclaves sur l’île, et de la boutique de souvenir avec la photo où t’es vraiment pas en position avantageuse à 15$, ben il te reste 1h45.

J’ai proposé qu’on prenne un taxi pour revenir plutôt que d’attendre à ne rien faire (j’avais même proposé le retour à pied, mais madame a eu peur que ce soit trop loin)

L’entrée du port est bordée de nombreuses échoppes à touristes mais surtout, le sol y est pavé et il y fait une chaleur à crever en cette heure midiesque quand on y revient.

Le Britannia y rule toujours!

Déjeuner climatisé et on revient au vague point de rendez-vous convenu avec les jeunes qui ne sont pas là (si vous avez bien lu plus haut, mais de toute façon, ça fait longtemps que vous ne regardez que les photos)…

On fait un passage aux boutiques à touristes acheter une paire de cartes postales, qu’on remonte écrire au frais sur un pont du bateau (devant un bon cocktail) et on ne refera qu’une autre sortie, pour les poster, il fait décidément bien trop chaud sur cette esplanade.

On en profite pour se faire rôtir une couche de plus!

Le départ du Birtannia est hyper impressionnant, les deux capitaines de paquebot jouant à celui qui a la plus grosse (corne de brume)

Soirée tranquille…

Diner sympathique avec les jeunes.
(Jacky n’a presque pas touché à ses plats parce qu’il a été surpris que la viande, ça soit du veau alors qu’il avait commandé du veau. Quel scandale!!!).

Ah si, après un passage au casino, madame m’a convaincu (mais elle n’a pas eu à pousser fort) de prendre cette montre qui me faisait de l’œil depuis un jour ou deux… alors que j’en ai déjà une douzaine (dont une de la même marque, dans le même esprit, depuis la dernière croisière)

Croisière 5 – Jour 3 – Tortola & Virgin Gorda

Après une journée complète en mer, direction notre première escale.

Encore réveillé tôt, j’assiste depuis mon point de vue préféré à mon second lever de jour… en approche de l’île de Tortola.

Par sécurité, j’avais réservé une excursion à la journée sur cette première escale: une journée sur une île proche, celle de Virgin Gorda qui était annoncée comme paradisiaque.

Preuve que la destination semblait intéressante, les « jeunes » avaient aussi prévu d’aller passer la journée sur cette île, mais par leur propres moyens.

La petite navette nous attend au bout de la jetée.

Et c’est parti pour une jolie traversée de 45 minutes.

A l’arrivée, l’île est très jolie… mais il y a deux aspects… La partie principale, venant du port, ravagée par les tempêtes récentes, et qui semble définitivement manquer de moyens; et la partie touristique où commencent à pulluler les jolies villas…

C’est de ce côté là qu’on nous transporte.

Descente dans un paysage aride vers une première plage, Devil’s bay.

Première baignade, bien agréable… mais grosse déception: quasiment aucun poisson et rien à voir au fond de l’eau…

Ah si… A un moment, j’ai trouvé à deux mètres de profondeur… une belle paire de Rayban pour femmes en bel état.
Pèche miraculeuse!
(C’est Cécile qui en profitera quelques jours plus tard, les siennes commençant à sérieusement pencher)

En parlant de Cécile, on les croise sur cette jolie plage (au moment où on commençait à se demander si on n’allait pas changer de placge)… Ils sont accompagnés d’un autre couple d’encore plus jeunes (la génération de nos filles), Quentin et Tiffany… avec qui nous trainerons aussi pas mal jusqu’à la fin du séjour, à l’occasion.

Quentin a apporté un sympathique drone qui fait de belles images (et donne de belles envies d’en acheter un)

Ils nous disent venir d’une autre plage, plus sympathique, avec plein de choses à voir au fond de l’eau et surtout pour laquelle on accède via un passage pittoresque à travers des rochers…

On y va.

(Oui, ça fait Blair Witch un peu par moments…)

Une fois qu’on a repéré les lieux, on remonte profiter du restaurant prévu dans l’excursion… Joli point de vue, mais c’est limite cantine améliorée (et puis, bien sûr, plein de beaufs français qui vont bloquer des tables avant de faire la queue pour le buffet…)

Et on retourne sur cette seconde plage finir de ne rien faire.

Il y a effectivement un peu plus de jolies choses à voir au fond de l’eau. Quelques poissons joliment colorés, des coraux, etc…

Fait marrant, il y a des coqs et des poules en liberté, qui trainent sur la plage, en toute liberté.

Retour tranquille au petit bateau ensuite, qui nous ramène au grand bateau.

Soirée tranquille, rien de marquant.
(à part que Jacky a commandé des plats à table qu’il n’a pas aimé)

Croisière 5 – Jour 1&2 – Guadeloupe & Mer

Bon, ça nous a repris…

A peine quelques mois après la dernière croisière, je commençais déjà à consulter les brochures Costa pour voir ce qu’ils avaient d’intéressant.
(Pourquoi toujours Costa? Tout simplement parce que nos avions fait notre première croisière avec eux et qu’on commence à accumuler des points de fidélité qui font qu’on commence à avoir d’intéressantes réductions – et puis bon, on sait que c’est pas spécialement le top du top, mais on s’en fout royalement, ça nous convient amplement).

Donc, dans ces fameuses brochures, j’avais repéré une croisière qui plaisait bien à mon âme… et ça tombait bien, vu que madame avait mentionné par le passé qu’elle aimerait bien faire cette destination: le tour de Grande-Bretagne, y compris l’Irlande et l’Écosse…

Moi, ça me plaisait bien (tout prétexte pour passer ne serait-ce que quelques secondes en terre britannique est le bienvenu), mais voila… la croisière durait deux semaines et madame trouvait que c’était bien long.

Donc, retour dans la brochure et dans le même genre, mais en une semaine, il y avait un truc sympa: les iles des Antilles et des Caraïbes.

Réservation faite très tôt… et six mois d’impatience dans la foulée, avant de partir!

Donc nous voila, vendredi 8 Mars, rassurés, à Orly en milieu de matinée, dans un avion à destination de Pointe à Pitre…
(Rassurés, parce que quelques jours plus tôt, on a découvert que notre médecin serait dans le même avion, pour ses vacances… Rassurant en cas de catastrophe aérienne).

Pas grand chose d’exceptionnel dans l’avion. On a regardé Le grand bain et j’étais assis à côté d’un antillais octogénaire complétement désorienté, qui sortait de plusieurs semaines d’hôpital et qui m’a demandé de lui descendre sa valise pour sortir, après deux heures de vol.

Première bonne impression dès la sortie de l’avion… Gros souffle chaud dès la porte passée.

Petite inquiétude… L’accueil Costa dès l’arrivée nous dit de ne pas nous inquiéter pour nos bagages, ils vont les récupérer pour nous et nous les livrer directement dans la cabine, même si on n’a pas accroché nos étiquettes de la compagnie.

On embarque donc en milieu d’après-midi (avec le décalage horaire)… jamais vu un embarquement aussi rapide!

Découverte du bateau qui ne change pas radicalement des autres. Repérage des points stratégiques (Restaurant, Casino, …), vérification que les cocktails sont toujours aussi bons.

Généralement, quand on commence une croisière, il nous reste une dernière crainte… va t on avoir d’agréables compagnons de table? Doute très vite dissipé le soir-même. La première demie-seconde d’impression est la bonne. Nous sommes rejoint à table par un jeune couple, Damien et Cécile, et ça clique immédiatement…

On passera pas mal de temps ensemble pendant la semaine suivante!

Bagages bien livrés dans la cabine pendant le dîner, on range tout et on va participer à l’obligatoire exercice de sécurité que les vieux n’écoutent pas.

Là, je réalise que je n’ai encore posté de photos…
(Mais je n’en ai pas pris une seule le premier jour)

En voila une du premier lever de soleil, depuis notre balcon.

Ah oui… parce qu’avec 5 heures de décalage horaire, j’ai eu du mal à dormir tard…

J’ai pris ma petite laine et suis sorti sur le balcon… pour me rendre compte qu’il faisait, à 6 heures du matin, déjà, super bon (au moins 25°), donc pas besoin de petite laine.

On est allés petit-déjeuner dans un restaurant encore désert (mais super kitsch)

Et profiter les premiers des jacuzzis extérieurs

Là, ça a commencé à vite chauffer…

Retraite stratégique à l’intérieur au bout d’un moment…

Buffet du midi où on a retrouvé nos jeunes voisins de table, sans aucune préméditation.

Après-midi tranquille à trainer sur les différents ponts (et à commencer à voir si le casino allait être en ma faveur sur cette croisière)

… et puis préparation pour la soirée « habillée » du capitaine.

Un rituel un peu con, mais ça nous amuse de jouer le jeu de bien nous habiller sur ces soirées.

(le bronzage n’avait pas encore sévi)

A table, nous n’étions plus 4 mais 6 avec l’arrivée d’un couple un peu plus âgé que nous, Jacky et Nadine.

De la même façon qu’il m’avait fallu moins d’une seconde pour sentir que tout se passerait super bien avec « les jeunes », il m’en a fallu encore moins pour me rendre compte que ça n’accrocherait pas un instant avec ces nouveaux voisins de table… mais ils nous ont bien fait rire pendant toute la croisière (sans le savoir)…
(Madame n’aime pas que je dise que je me fait généralement une impression dès le premier instant, mais dans 99% des cas, elle se confirme)

Jacky avait un sens de l’élégance assez relatif… Les deux soirs où il fallait bien se vêtir, il avait sorti ses claquettes, son bermuda et son maillot Zidane de contrefaçon.

La suite ensuite!

Carte blanche à Gérald Genty – Dame de Canton – 13 Avril 2018

Bon, c’est simple, on va diviser la population en deux.

Ceux qui ont assisté à cette première Carte Blanche à Gérald Genty, et les autres…

(Petite précision immédiate, toutes les photos de cet article sont de mon amie Gwenn… sauf peut-être deux ou trois moches, des balances, qui sont de moi).

Ceux qui étaient présents à la Dame de Canton ce vendredi 13 Avril 2018 pourront donc fièrement, dans les années à venir, dire « j’étais à la première Carte Blanche à Gérald Genty ».

Petit rappel historique… Dans ma vie de jeune adulte, j’avais organisé une poignée de concerts… et puis la vie venant, la famille se développant, sans y faire attention, j’avais arrêté… pendant plus de vingt ans.

Et puis, un jour de Septembre 2015, le déclic est revenu suite à ma rencontre avec l’exceptionnel David Ford… et je me suis remis à organiser des concerts.

Un premier concert de David Ford à la Manufacture Chansons en Mars 2016… et un an plus tard, ma mégalomanie prenant le dessus, j’ai eu envie de réunir deux amis, David donc et Gérald Genty, dans un lieu un peu plus grand… et après avoir un peu prospecté, je me suis fixé à la Dame de Canton… Le lieu m’a beaucoup plu… et surtout, n’étant pas du métier, quasiment aucune autre salle n’a daigné répondre à mes premiers contacts… Pas grave, j’ai découvert à la DDC une équipe excessivement sympathique.

C’est sans regret que j’y ai organisé un second concert en Octobre 2017. David Ford toujours, avec Parnell en première partie.

… et j’ai créé une association, Gentils Chanteurs, pour disposer d’un cadre un peu plus officiel dans la promotion et l’organisation d’un ou deux concerts annuels.

L’étape suivante me trottait dans la tête depuis un moment. Proposer à Gérald Genty d’instituer un rendez-vous annuel, en dehors des tournées habituelles, un peu foutraque, marquant, qui fidéliserait un public sur cet événement particulier et qui lui permettrait de sortir de ses performances habituelles…

(Mon inspiration ne vient pas de très loin. David Ford fait chaque année à Londres, un concert de charité pendant lequel il invite des amis – Tom McRae en 2017 – fait des reprises et propose des surprises. Les bénéfices sont reversés à une association)

Ma première idée était d’appeler ce rendez-vous « la fête à Gérald »… mais ce dernier a suggéré de changer le nom en Carte Blanche.

Avant même le dernier concert de David Ford à la Dame de Canton, nous avions statué avec Gérald d’essayer de caler une date au printemps et assez rapidement, j’avais signé pour ce 13 Avril… Un vendredi 13, pour un concert de Gérald Genty, ça ne pouvait pas se rater!

L’idée de l’affiche m’est venue d’un seul coup… et sa réalisation ne m’a pas pris plus de quelques minutes.

(Pour l’anecdote, il y a 3 versions différentes de cette affiche… celle pour le web, l’affiche physique et les flyers…. « Spectacle » y est écrit avec trois « orthographes » différentes.)

Difficile de promouvoir un concert quand on n’est pas du milieu… Je l’ai fait à l’artisanal… allant jusqu’à laisser traîner des flyers sur les sièges dans les métros et RER sur mon trajet de travail.

Les bonnes nouvelles ont commencé à arriver dans les dernières semaines…

Les pré-ventes augmentaient régulièrement, laissant espérer un équilibre financier… Équilibre qui a été atteint deux bonnes semaines avant la date…

Et côté artistique, Gérald partageait les noms de potentiels intervenants qui avaient plus ou moins accepté de venir…

Dans la majorité des cas, ils sont venus…

Ce vendredi 13, donc, difficile de tenir au bureau.. J’en suis parti vers 15h30 pour traverser Paris, un jour de grève…

Le soleil est avec nous et c’est par un splendide après-midi que je suis arrivé à cette désormais familière Dame de Canton.
Je l’ai dit, j’adore ce lieu, pour son côté cocon, sa proximité, sa simplicité originale et son équipe avec qui j’ai noué de bonnes relations (sans oublier leur restaurant fort agréable).

J’arrive vers 16h30, Gérald doit être là vers 17h00 (en fait, il m’appellera à ce moment là pour me dire qu’il est à peu près à mon point de départ… et donc qu’il lui reste une bonne heure pour arriver).

Ça me laisse le temps de vérifier que tout fonctionne pour mon introduction (Vidéoprojecteur, écran)…

… et de faire connaissance du sympathique Fred Radix venu répéter son intervention avec un Gérald qui arrivera trop tard (Fred faisant un spectacle au Grand Point Virgule à Montparnasse de 19h45 à 21h00)… Il reviendra à temps pour la deuxième partie de la Carte Blanche.

Arrivée de Gérald donc, installation, balance… et arrivée de deux de ses autres invités, Matthieu Askehoug et Ben Ricour…

20h30, la salle commence à être bien remplie… C’est parti pour plus de deux heures de voltige sans filet…

Introduction du célèbre « naturaliste en boules, de l’université de Neuf-Maître (Carhaix) », le professeur Gérard Maichant qui a apporté les preuves soutenant sa thèse déconstruisant les sources d’inspiration de l’oeuvre du chanteur comique Gérald Genty.

Et c’est parti pour la première des deux parties annoncées par Gérald… Il va revisiter son répertoire pendant la première heure, avant de faire intervenir ses invités pour la seconde partie.

Des morceaux connus (TER minable, Pyla), d’autres habituels des concerts de Gérald Genty (Cochons d’Inde, une douzaine de chansons courtes), une tentative de nouvelle chanson avortée après le premier vers… Une version désabusée d’Autruche.

Le public réagit à chaque anecdote, interagit avec le chanteur, toujours hilare sur les approximations, se demandant à chacune d’entre elles si elle est prévue ou non.

Gros succès pour cette première partie de spectacle… mais ce n’est rien vis-à-vis de ce qu’il se passera 15 minutes plus tard.

Après une courte pause, Gérald Genty présente son premier invité Ben Ricour…

Et ça démarre dans une autre dimension…

L’heure d’hiver, avec Askehoug au clavier et Gérald Genty à la guitare électrique.

Ben présente ensuite une chanson très émouvante: la machine.

Enchaînement d’un professionnalisme de très haut niveau pour une nouvelle chanson de Gérald, « Si j’étais », qui normalement est un duo avec une voix féminine… N’en ayant pas trouvé pour ce soir (un nom prestigieux a été un moment évoqué, avant de ne plus donner de nouvelles, et de présenter ensuite ses excuses une fois le concert passé… peut-être pour l’année prochaine?), il avait convié une actrice de charme italienne, Frida X, mais suite à un imbroglio, le duo sera assuré par Fred Radix… qui assurera sa partie avec son instrument préféré, son sifflement.

… avant de nous offrir une prestation incroyable: 23 chansons françaises enchaînées en moins de 2 minutes.
C’était d’autant plus touchant que cette chanson ne fait pas partie de son spectacle actuel.

Grand délire ensuite, avec l’intervention d’Askehoug sur la chanson de Gérald, « Tata ET ».

Puis, interprétation seul de deux de ses chansons… « Du style » et « La guerre des animaux ».

Petit moment émouvant avec Gérald, seul, qui interprète une de ses nouvelles chansons, « Planeur ». Très belle composition sur l’observation de ses enfants.

… et, encore un moment pas préparé, Gérald offre la scène à Nicolas Pantalacci/Monsieur Lune, présent dans la salle, pour qu’il interprète une de ses reprises de Renaud, avant de changer d’avis au dernier moment et qu’il nous offre une nouvelle composition inédite « Tête de gondole », hilarante observation des dérives de la célébrité.


Enchaînement surprenant ensuite, avec la reprise inattendue d’ « Auprès de mon arbre » de Georges Brassens par un Gérald bien aidé par toute une salle qui s’amuse à lui souffler les paroles et à chanter avec lui.

… et pour finir (malgré le dépassement du couvre-feu depuis quelques minutes déjà), l’habituel, participatif, « Mon prénom, c’est Gérald, pas Gérard ». J’aimerais dire que la chanson a provoqué de grandes réactions et des rires… mais toute la soirée a été comme ça.

Et puis cette annonce de pause concernant ses interventions scéniques, de plusieurs mois, afin de préparer son nouvel album.

Et ce ne sont donc que des sourires radieux qui ont hanté la Dame de Canton une fois les dernières notes éteintes…

Tout le monde était ravi.

Les spectateurs, la Dame de Canton (la meilleure affluence depuis des semaines), les invités, Gérald… et moi… le résultat dépassant tout ce que j’espérais d’une telle soirée…

On parle déjà de l’édition 2019!

Croisière 4 – Jour 8 – Retour à Venise

Très difficile d’imaginer en revenant à Venise que nous n’avions quitté cette ville qu’une semaine plus tôt, à peine…

Joli dernier lever de soleil depuis la terrasse…

Dernier petit déjeuner… et on se replie sur la terrasse des beaux-parents que j’avais choisie stratégiquement pour profiter de l’arrivée sur cette jolie ville.

Vous vous rappelez des photos d’une espèce d’atelier de réparation de gondoles le premier jour? Le voici à nouveau vu d’en haut.

Un peu d’attente avant le débarquement.
J’en profite pour ingurgiter un dernier cocktail.

Et nous voila de retour, définitivement sur la terre ferme.

Nous rejoignons l’hôtel des parents (ils restent une journée de plus pour profiter de la ville) où nous laissons nos bagages pour une dernière promenade rapide dans le quartier Nord (le Ghetto, principalement).

… Et nous voila repartis vers Paris, après une dizaine de jours incroyables.

En attendant la prochaine croisière.