Saint-Martin, c’était une des escales que j’attendais le plus (avec toutes les autres).
Bon, on va commencer par l’habituelle indispensable photo lever de soleil, dans le port de Philipsburg (du côté Néerlandais, là où l’île s’appelle Sint-Maarten, parce que l’autre moitié de l’île est aussi Française)
Je l’attendais pour une bonne raison… dans la liste des excursions, j’avais repéré une sortie vers un parc qui permettait d’avoir un des plus beaux panoramas sur l’île et surtout, d’en redescendre par (ce qui est annoncé comme) la plus grande tyrolienne du monde…
J’avais un peu investigué avant de partir, et le package excursion proposé par Costa revenait quasiment au même prix que de me débrouiller tout seul.
(Ah, comment ça, j’ai pas mentionné que mes deux premières virées au casino nous ont permis de rembourser les excursions? Un oubli, sans doute!)
Donc, on arrive tranquillement dans ce fameux port, avec une belle vue dégagée, depuis notre cabine…
… et en revenant du petit-déjeuner (où, quelle surprise, on a retrouvé Damien et Cécile), la vue était obstruée par (mon cœur en vibre encore)…
Le Britannia!
On avait vaguement prévu, avec les jeunes, qui partaient de leur côté, de tenter de se retrouver à table si on pouvait le midi pour tenter une sortie ensemble pour ensuite.
(C’est tombé à l’eau, ils ont vadrouillé toute la journée)
Nous voila vaguement partis vers le parc avec d’autres excursionnistes (il y avait deux options: montée et redescente en télésiège pour les vieux ou montée en télésiège et redescente en 45 secondes pour les autres).
Comité d’accueil sympathique
Et montée vers les sommets, une petite demie-heure bien agréable sauf… … sauf quand le télésiège s’arrête avant l’arrivée et qu’il se met à flotter d’un seul coup une grosse averse tropicale!
Pas grave… moins de cinq minutes après en être descendus, on était déjà tout secs à nouveau!
Superbe panorama vu d’en haut…
Sauf que leur organisation, elle est toute pourrite… A peine sorti du télésiège, ils te donnent un numéro pour la descente accrochée, et que le numéro, ils te l’appellent à peine 5 minutes après être arrivés, donc pas trop de temps de profiter de la vue…
Pas grave, on s’aligne et on attend une bonne vingtaine de minutes que les deux tours (on descend 4 par 4) précédents s’envoient en l’air.
Et c’est notre tour!
Gros frisson lorsque les barrière s’ouvrent.
(L’arrivée est au niveau du stade, en bas)
… et pendant les premières secondes de descente…
… et après, c’est pépère!
… et arrivé en bas, il reste deux heures avant que la navette Costa vienne te rechercher.
Une fois que t’as fait le tour des iguanes, de la pièce prétexte-culturel, bien intéressante quand même sur celui qui a mis en place cette plantation et participé à l’émancipation des esclaves sur l’île, et de la boutique de souvenir avec la photo où t’es vraiment pas en position avantageuse à 15$, ben il te reste 1h45.
J’ai proposé qu’on prenne un taxi pour revenir plutôt que d’attendre à ne rien faire (j’avais même proposé le retour à pied, mais madame a eu peur que ce soit trop loin)
L’entrée du port est bordée de nombreuses échoppes à touristes mais surtout, le sol y est pavé et il y fait une chaleur à crever en cette heure midiesque quand on y revient.
Le Britannia y rule toujours!
Déjeuner climatisé et on revient au vague point de rendez-vous convenu avec les jeunes qui ne sont pas là (si vous avez bien lu plus haut, mais de toute façon, ça fait longtemps que vous ne regardez que les photos)…
On fait un passage aux boutiques à touristes acheter une paire de cartes postales, qu’on remonte écrire au frais sur un pont du bateau (devant un bon cocktail) et on ne refera qu’une autre sortie, pour les poster, il fait décidément bien trop chaud sur cette esplanade.
On en profite pour se faire rôtir une couche de plus!
Le départ du Birtannia est hyper impressionnant, les deux capitaines de paquebot jouant à celui qui a la plus grosse (corne de brume)
Diner sympathique avec les jeunes.
(Jacky n’a presque pas touché à ses plats parce qu’il a été surpris que la viande, ça soit du veau alors qu’il avait commandé du veau. Quel scandale!!!).
Ah si, après un passage au casino, madame m’a convaincu (mais elle n’a pas eu à pousser fort) de prendre cette montre qui me faisait de l’œil depuis un jour ou deux… alors que j’en ai déjà une douzaine (dont une de la même marque, dans le même esprit, depuis la dernière croisière)